- EAN13
- 9782207116203
- Éditeur
- Denoël
- Date de publication
- 17/05/2014
- Collection
- Histoire romanesque
- Langue
- français
- Langue d'origine
- suédois
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Denoël 21,50
Mère célibataire, Johanna lutte pour joindre les deux bouts, tandis que son
ex-mari, Calle, a refait sa vie loin d’elle. Il a quitté la ville pour
s’installer à Stockholm avec sa nouvelle petite amie – la très sophistiquée et
cultivée Fanny – et commencer une carrière couronnée de succès. De son côté,
Johanna s’inquiète pour ses filles, dont la plus jeune est le souffre-douleur
du collège. Pour ne rien arranger, un patient se suicide dans le centre pour
toxicomanes dans lequel elle travaille comme aide-soignante, et Calle refuse
désormais de lui verser sa pension alimentaire. Un beau jour, Johanna gagne
vingt millions de couronnes au loto. Sa vie va alors prendre un tout autre
chemin. Anna Fredriksson nous invite Rue du Bonheur et on s’y sent
immédiatement comme chez soi. À la manière de Cédric Klapish ou de Katherine
Pancol, elle brosse des personnages si réels, si attachants, à notre image
tout compte fait, qu’on ressort euphorique et revigoré de ce séjour chez
Johanna, Calle et leurs filles.
ex-mari, Calle, a refait sa vie loin d’elle. Il a quitté la ville pour
s’installer à Stockholm avec sa nouvelle petite amie – la très sophistiquée et
cultivée Fanny – et commencer une carrière couronnée de succès. De son côté,
Johanna s’inquiète pour ses filles, dont la plus jeune est le souffre-douleur
du collège. Pour ne rien arranger, un patient se suicide dans le centre pour
toxicomanes dans lequel elle travaille comme aide-soignante, et Calle refuse
désormais de lui verser sa pension alimentaire. Un beau jour, Johanna gagne
vingt millions de couronnes au loto. Sa vie va alors prendre un tout autre
chemin. Anna Fredriksson nous invite Rue du Bonheur et on s’y sent
immédiatement comme chez soi. À la manière de Cédric Klapish ou de Katherine
Pancol, elle brosse des personnages si réels, si attachants, à notre image
tout compte fait, qu’on ressort euphorique et revigoré de ce séjour chez
Johanna, Calle et leurs filles.
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