- EAN13
- 9782843047930
- ISBN
- 978-2-84304-793-0
- Éditeur
- Zulma
- Date de publication
- 06/04/2017
- Collection
- Littérature de poche Z/A
- Nombre de pages
- 240
- Dimensions
- 17,5 x 11,7 x 1,3 cm
- Poids
- 169 g
- Fiches UNIMARC
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Offres
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9.95
« La marche à pied mène au paradis. » Ainsi s’ouvre Mā, roman japonais, à la croisée de deux destins et autour d’une même quête, la voie du détachement.
Shōichi porte en lui le souvenir de Saori, la seule femme qu’il ait aimée, une universitaire qui a consacré sa vie à Santōka, le dernier grand haïkiste. Leur aventure aussi incandescente que brève initie le départ de Shōichi sur les pas de Santōka, de l’immense Bashō et de son maître Saigyō. Marcher, pour cette procession héroïque d’ascètes aventureux, c’est échapper au ressassement, aux amours perdues, c’est vivre pleinement l’instant ! « Le saké pour le corps, le haïku pour le coeur. »
Dans la lignée de l’inoubliable Peintre d’éventail, Hubert Haddad nous emmène sur les sentiers du Bout-du-Monde. Son écriture est comme la palpitation miraculeuse de la vie, au milieu des montagnes et des forêts, à travers le chant des saisons, comme un chemin sur le chemin. * Mā, dont le kanji représente un soleil dans une porte, c’est l’« or du vide » : cette transition vibrante qui rend le langage et la musique possibles, en somme l’univers entier dans sa multiple et illusoire splendeur.
Shōichi porte en lui le souvenir de Saori, la seule femme qu’il ait aimée, une universitaire qui a consacré sa vie à Santōka, le dernier grand haïkiste. Leur aventure aussi incandescente que brève initie le départ de Shōichi sur les pas de Santōka, de l’immense Bashō et de son maître Saigyō. Marcher, pour cette procession héroïque d’ascètes aventureux, c’est échapper au ressassement, aux amours perdues, c’est vivre pleinement l’instant ! « Le saké pour le corps, le haïku pour le coeur. »
Dans la lignée de l’inoubliable Peintre d’éventail, Hubert Haddad nous emmène sur les sentiers du Bout-du-Monde. Son écriture est comme la palpitation miraculeuse de la vie, au milieu des montagnes et des forêts, à travers le chant des saisons, comme un chemin sur le chemin. * Mā, dont le kanji représente un soleil dans une porte, c’est l’« or du vide » : cette transition vibrante qui rend le langage et la musique possibles, en somme l’univers entier dans sa multiple et illusoire splendeur.
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