- EAN13
- 9782879297583
- ISBN
- 978-2-87929-758-3
- Éditeur
- Éditions de L'Olivier
- Date de publication
- 09/2011
- Collection
- Littérature étrangère
- Nombre de pages
- 168
- Dimensions
- 0,1 x 0,1 x 0,1 cm
- Poids
- 401 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- allemand
- Fiches UNIMARC
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Offres
-
19.30
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Le « Juif de service », c’est lui, une épine dans le pied des Allemands qu’il
aimerait aider à redevenir eux-mêmes « après des années d’auto-dénégation
» : Maxim Biller est juif « depuis le jour où il a découvert le plaisir qu’il
prenait à embarrasser les autres avec le fait d’être juif ».
Ce livre raconte la tragi-comédie d’un Juif, qui ne cesse de s’entendre dire
qu’il ne devrait pas revendiquer de l’être. Maxim Biller n’est pas homme à
se taire. C’est là que commencent (pour lui) les ennuis et un récit, à la fois
drôle et acide, provocant et touchant, car l’auteur qui aime la polémique est
doté d’un humour féroce. Et d’une habileté particulière à mêler histoires de
famille, portraits d’amis ou de rivaux, passions littéraires et réflexions sur la
question juive en Allemagne, entre assimilation et exclusion volontaire. Il se
souvient de ces années où, étudiant, il retrouvait dans le Jardin anglais de
Munich sa bande d’amis, dont il était malgré lui le « Woody Allen ». Il affectionnait
particulièrement les personnages « hystériques, drôles et tyranniques »,
non sans ressemblance avec sa propre famille. Il évoque aussi les années
80, la Pop et la Nouvelle Vague, les livres de Boris Pasternak et Mordecai
Richler, les chroniques de Bob Dylan, ses fréquents séjours en Israël, etc.
Dans ce portrait de l’artiste en grand mélancolique, l’auteur conclut : « À
20 ans on sait tout, à 30 on le sait vraiment, et à 40 on ne sait plus rien. »
aimerait aider à redevenir eux-mêmes « après des années d’auto-dénégation
» : Maxim Biller est juif « depuis le jour où il a découvert le plaisir qu’il
prenait à embarrasser les autres avec le fait d’être juif ».
Ce livre raconte la tragi-comédie d’un Juif, qui ne cesse de s’entendre dire
qu’il ne devrait pas revendiquer de l’être. Maxim Biller n’est pas homme à
se taire. C’est là que commencent (pour lui) les ennuis et un récit, à la fois
drôle et acide, provocant et touchant, car l’auteur qui aime la polémique est
doté d’un humour féroce. Et d’une habileté particulière à mêler histoires de
famille, portraits d’amis ou de rivaux, passions littéraires et réflexions sur la
question juive en Allemagne, entre assimilation et exclusion volontaire. Il se
souvient de ces années où, étudiant, il retrouvait dans le Jardin anglais de
Munich sa bande d’amis, dont il était malgré lui le « Woody Allen ». Il affectionnait
particulièrement les personnages « hystériques, drôles et tyranniques »,
non sans ressemblance avec sa propre famille. Il évoque aussi les années
80, la Pop et la Nouvelle Vague, les livres de Boris Pasternak et Mordecai
Richler, les chroniques de Bob Dylan, ses fréquents séjours en Israël, etc.
Dans ce portrait de l’artiste en grand mélancolique, l’auteur conclut : « À
20 ans on sait tout, à 30 on le sait vraiment, et à 40 on ne sait plus rien. »
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