- EAN13
- 9782930601069
- ISBN
- 978-2-930601-06-9
- Éditeur
- Zones Sensibles
- Date de publication
- 27/06/2012
- Nombre de pages
- 120
- Dimensions
- 21 x 12,6 x 0,8 cm
- Poids
- 165 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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"Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire. Car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin". Jamais cette phrase d’Henry Ford n’aura été si actuelle, et ce grâce aux transactions à haute fréquence. Si le trading ultra-rapide (qui représente désormais plus de 60% des échanges boursiers aux Etats-Unis) fait de plus en plus parler de lui, il n’existe aucun ouvrage accessible en français sur ces algorithmes qui calculent à la micro-seconde pertes et profits.
6 vient combler cette absence. Découpé en six chapitres, tels six épisodes d’une mini-saison, cet ouvrage vous emmènera dans les tréfonds des data centers gigantesques bourrés de données financières, suscitant une course à l’information entre algorithmes qui s’appellent, selon les circonstances, Sniper ou Fouineur. Pour se rendre bien compte de l’espace-temps qui concerne ces algorithmes, il suffit de rappeler ceci : faire clignoter une paupière demande 350 millisecondes à un être humain, et faire passer une information par un câble entre Londres et New York ne prend que 65 millisecondes… soit 5 fois moins de temps.
Le premier épisode commence avec le recrutement des traders, à coup de limousines débarquant à Harvard en quête des étudiants les plus «intelligents». Les cinq épisodes suivants aborderont l’algorithmie financière (quels sont les algorithmes, leur différentes tâches, leur rapidité, etc.), le code informatique (en tant que langage permettant aux humains de maîtriser des machines), les méchants voleurs de codes et ceux qui essaient au FBI de les contrer.
Un épisode sera entièrement consacré au fameux flash crash du 6 mai 2010, où sont mises en avant diverses explications (et où, finalement, les banquiers pourraient bien avoir plus de responsabilité que les machines). 6 n’est pas seulement une initiation détaillée et vertigineuse sur la rapidité des échanges financiers et les relations entre ordinateurs et êtres humains, mais aussi un tableau épique du contexte dans lequel tous évoluent – des milieux où les informations financières habitent autant des zones grises que des dark pools, un monde où les câbles jouent un rôle déterminant, où les colocataires ne sont pas des sympathiques étudiants, et où les fameux quants proposent désormais de se passer de toute intervention humaine.
Un livre noir comme les black boxes, emmené par une écriture à la 24 heures chrono, où le temps se rapproche de la vitesse de la lumière. En trois mots : time is money
6 vient combler cette absence. Découpé en six chapitres, tels six épisodes d’une mini-saison, cet ouvrage vous emmènera dans les tréfonds des data centers gigantesques bourrés de données financières, suscitant une course à l’information entre algorithmes qui s’appellent, selon les circonstances, Sniper ou Fouineur. Pour se rendre bien compte de l’espace-temps qui concerne ces algorithmes, il suffit de rappeler ceci : faire clignoter une paupière demande 350 millisecondes à un être humain, et faire passer une information par un câble entre Londres et New York ne prend que 65 millisecondes… soit 5 fois moins de temps.
Le premier épisode commence avec le recrutement des traders, à coup de limousines débarquant à Harvard en quête des étudiants les plus «intelligents». Les cinq épisodes suivants aborderont l’algorithmie financière (quels sont les algorithmes, leur différentes tâches, leur rapidité, etc.), le code informatique (en tant que langage permettant aux humains de maîtriser des machines), les méchants voleurs de codes et ceux qui essaient au FBI de les contrer.
Un épisode sera entièrement consacré au fameux flash crash du 6 mai 2010, où sont mises en avant diverses explications (et où, finalement, les banquiers pourraient bien avoir plus de responsabilité que les machines). 6 n’est pas seulement une initiation détaillée et vertigineuse sur la rapidité des échanges financiers et les relations entre ordinateurs et êtres humains, mais aussi un tableau épique du contexte dans lequel tous évoluent – des milieux où les informations financières habitent autant des zones grises que des dark pools, un monde où les câbles jouent un rôle déterminant, où les colocataires ne sont pas des sympathiques étudiants, et où les fameux quants proposent désormais de se passer de toute intervention humaine.
Un livre noir comme les black boxes, emmené par une écriture à la 24 heures chrono, où le temps se rapproche de la vitesse de la lumière. En trois mots : time is money
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