- EAN13
- 9782234068629
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 15/10/2003
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Stock 28,00
Il faut avoir la passion des jouets, aimer leur histoire, leur diversité et
leur frivolité, pour les prendre au sérieux comme le fait Gilles Brougère.
Pour cet universitaire aussi rigoureux que facétieux, le monde des jouets, qui
occupe une place grandissante dans la culture d'aujourd'hui, n'a pas de
secrets. Du Teddy Bear, le célèbre ours en peluche doté du prénom du Président
Roosevelt à ses descendants télévisés les Bisounours, des maisons en miniature
aux jeux de construction, des poupées bébé à la pimpante Barbie, si
controversée, sans compter les Power Rangers et autres personnages guerriers,
tout mérite également son attention.
Ce livre foisonnant révèle ainsi un univers désirable au regard des enfants,
où le réalisme importe moins que l'invention et la fantaisie. Il montre aussi
les enjeux et stratégies commerciales d'une industrie de plus en plus
dépendante de la télévision. Enfin, il démonte quelques certitudes ou
inquiétudes peu fondées : la fonction du jouet est ludique plus qu'éducative,
les jeux guerriers ne sont pas vraiment dangereux et Barbie ne mérite pas tant
d'acrimonie... En fait, les jouets, tels un miroir, nous renvoient surtout
l'image de notre relation à l'enfance.
leur frivolité, pour les prendre au sérieux comme le fait Gilles Brougère.
Pour cet universitaire aussi rigoureux que facétieux, le monde des jouets, qui
occupe une place grandissante dans la culture d'aujourd'hui, n'a pas de
secrets. Du Teddy Bear, le célèbre ours en peluche doté du prénom du Président
Roosevelt à ses descendants télévisés les Bisounours, des maisons en miniature
aux jeux de construction, des poupées bébé à la pimpante Barbie, si
controversée, sans compter les Power Rangers et autres personnages guerriers,
tout mérite également son attention.
Ce livre foisonnant révèle ainsi un univers désirable au regard des enfants,
où le réalisme importe moins que l'invention et la fantaisie. Il montre aussi
les enjeux et stratégies commerciales d'une industrie de plus en plus
dépendante de la télévision. Enfin, il démonte quelques certitudes ou
inquiétudes peu fondées : la fonction du jouet est ludique plus qu'éducative,
les jeux guerriers ne sont pas vraiment dangereux et Barbie ne mérite pas tant
d'acrimonie... En fait, les jouets, tels un miroir, nous renvoient surtout
l'image de notre relation à l'enfance.
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