- EAN13
- 9791037037138
- Éditeur
- Hermann
- Date de publication
- 23/10/2019
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aux lumières pourprées du crépuscule
Correspondance croisée – suivi de "Mi Museo Ideal"
Julián Del Casal
Hermann
Autre version disponible
-
Papier - Hermann 18,00
Julián del Casal (1863-1893) est le plus grand poète moderniste cubain. En
1885, il découvre l’œuvre de Gustave Moreau dans le roman À Rebours de J. K.
Huysmans. Il tombe amoureux de ces «?sublimes créations?» qu’il décide de
célébrer dans des sonnets. Malgré la distance qui sépare La Havane de Paris,
Casal envoie ses poèmes à Moreau et une correspondance très intime s’établit
entre les deux artistes. En 1892, Casal publie son deuxième livre de poèmes,
dont la troisième partie porte le titre «?Mi museo ideal, cuadros de Gustavo
Moreau?». En 1893, Casal meurt d’une maladie rare sans jamais avoir réalisé
son rêve de rencontrer son «?divin maître?» Gustave Moreau, ni vu ses tableaux
autrement que par des reproductions en noir et blanc. Le présent volume
regroupe pour la première fois les différents éléments qui composent cette
histoire d’amour idyllique : la correspondance croisée et les poèmes de Mi
Museo Ideal?; traduits et commentés par Dominique Fernandez et Roger Herrera.
1885, il découvre l’œuvre de Gustave Moreau dans le roman À Rebours de J. K.
Huysmans. Il tombe amoureux de ces «?sublimes créations?» qu’il décide de
célébrer dans des sonnets. Malgré la distance qui sépare La Havane de Paris,
Casal envoie ses poèmes à Moreau et une correspondance très intime s’établit
entre les deux artistes. En 1892, Casal publie son deuxième livre de poèmes,
dont la troisième partie porte le titre «?Mi museo ideal, cuadros de Gustavo
Moreau?». En 1893, Casal meurt d’une maladie rare sans jamais avoir réalisé
son rêve de rencontrer son «?divin maître?» Gustave Moreau, ni vu ses tableaux
autrement que par des reproductions en noir et blanc. Le présent volume
regroupe pour la première fois les différents éléments qui composent cette
histoire d’amour idyllique : la correspondance croisée et les poèmes de Mi
Museo Ideal?; traduits et commentés par Dominique Fernandez et Roger Herrera.
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