- EAN13
- 9782363583994
- ISBN
- 978-2-36358-399-4
- Éditeur
- Vendémiaire
- Date de publication
- 22/03/2023
- Collection
- Compagnons de voyages (1)
- Nombre de pages
- 216
- Dimensions
- 18 x 13,5 x 1,6 cm
- Poids
- 226 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Féministe engagée, fondatrice de la revue littéraire la plus importante d’Amérique latine, traductrice de Virginia Woolf, amie de Jorge Luis Borges, Albert Camus et Rabindranath Tagore, qu’elle publia au sein de sa maison d’édition, Victoria Ocampo est une figure incontournable de la vie intellectuelle argentine du XXe siècle.
Née dans une famille aristocratique, cette femme vivant pour et par les livres n’a cessé de se raconter à travers la littérature. Admiratrice de Proust, elle témoigne avec une rare finesse dans Le Vert Paradis de la façon dont les lectures de son enfance – Emily Brontë, Dickens, Verne, Racine, la comtesse de Ségur, Poe… – ont marqué sa sensibilité. Dans 338171 T.E. (Lawrence d’Arabie), elle partage sa lecture enflammée de T.E. Lawrence, auteur atypique éperdu d’absolu qui, comme elle, ne put jamais se résoudre à distinguer l’écriture de l’action.
Introduits par Silvia Baron Supervielle, elle-même Argentine francophone, vivant à Paris, romancière, poète et traductrice, notamment de Borges et de Cortázar, la plupart des écrits de Victoria Ocampo rédigés directement en français, langue qu’elle maîtrisait à la perfection, sont ici pour la première fois réunis.
Victoria Ocampo, écrivaine argentine, a fondé la revue Sur (Sud) en 1931 à Buenos Aires, puis une maison d’édition du même nom, publiant les plus grands auteurs du XXe siècle.
Née dans une famille aristocratique, cette femme vivant pour et par les livres n’a cessé de se raconter à travers la littérature. Admiratrice de Proust, elle témoigne avec une rare finesse dans Le Vert Paradis de la façon dont les lectures de son enfance – Emily Brontë, Dickens, Verne, Racine, la comtesse de Ségur, Poe… – ont marqué sa sensibilité. Dans 338171 T.E. (Lawrence d’Arabie), elle partage sa lecture enflammée de T.E. Lawrence, auteur atypique éperdu d’absolu qui, comme elle, ne put jamais se résoudre à distinguer l’écriture de l’action.
Introduits par Silvia Baron Supervielle, elle-même Argentine francophone, vivant à Paris, romancière, poète et traductrice, notamment de Borges et de Cortázar, la plupart des écrits de Victoria Ocampo rédigés directement en français, langue qu’elle maîtrisait à la perfection, sont ici pour la première fois réunis.
Victoria Ocampo, écrivaine argentine, a fondé la revue Sur (Sud) en 1931 à Buenos Aires, puis une maison d’édition du même nom, publiant les plus grands auteurs du XXe siècle.
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